Les temps propres.
Par les temps propres nous avons des mesures de la durée différentes dans chaque réfèrentiel.L'âge d'une personne est donc une notion relative.Ce qui ne veut pas dire qu'il y a vieillissement différent pour par exemple des jumeaux ,dont l'un se mouverait avec une très grande vitesse,par rapport a l'autre.
Pour une particule dont la durée de vie naturelle est brève(désintégration spontanée),et qui est accélèrée- par un champ électrique- vers la vitesse de la lumière, par rapport a une particule identique elle non accélèrée, la durée de vie mesurée est allongée par rapport a celle de la particule dite au repos.C'est ce que peuvent observer les physiciens grâce aux accélèrateurs de particules.Pour
un observateur qui serait lui même en mouvement rapide,et constant en vitesse,par rapport a ces particules accélèrées, en ayant une horloge atomique(pourtant synchronisée au repos),la mesure de la durée de vie de celles-ci serait encore différente- des points de vues non concordants entre un observateur au repos,et un observateur en mouvement, aucun n'est plus exact que l'autre- : il s'agit donc de notions relatives,aussi bien pour la durée, que pour l'âge ! Quoique je n'en sache pas davantage qu'un relativiste compétent, je puis dire que la théorie de la relativité est subtile dans ses énoncés (ce qui cause des mésinterprétations quand les termes employés dans des écrits: « écoulement de temps ,etc » faussent la perception du lecteur.Mais un auteur peut toujours parfaire ses écrits).
S'il ne faut pas confondre, ce que mesure par sa fréquence une horloge atomique,avec ce que produisent les forces de frottements sur elle : « l'usure » ,car dans le second cas il y a interaction; il ne faut pas non plus inventer un rapport de causalité entre le paramètre -temporel- mesuré périodiquement(unité de temps,variable-dilatable- en durée),et les effets physiques que l'on peut constater. Le phénomène temporel ne peut ralentir, ni accélèrer ; ni -ce qui est important- être ralenti,et accélèrer(positivement): la vitesse est une dérivée du temps, et joue sur la fréquence des horloges mues.Quand a la mesure de la durée, elle est relative.
Le paradoxe de Paul Langevin.
Parler d'âge différent pour les jumeaux, reviendrait a dire que, entre l'instant de leur naissance,et celui de leur réunion le voyage a grande vitesse relative de l'un achevé,la durée de vie des deux serait différente : ce qui signifierait un vieillissement inégal des deux frères.Alors que c'est tout simplement la mesure de la durée,qui n'est pas identique.L'horloge référentielle, et l'horloge qui fut mobile par rapport a elle ne sont en théorie plus synchrones,contrairement antérieurement au départ de la seconde pour l'espace vide.
S'il y a contraction(réduction de volume) de la masse d'une particule instable, accélèrée,celle-ci se désintègre moins rapidement que si elle se trouvait au « repos » ,avec une cohesion interne moindre( la clé est là a mon avis).
Mais s'il y a contraction massique du vivant par l'accélèration, et abaissement de la fréquence oscillatoire des atomes constituants cette masse, y a t'il pour autant une préservation de celle-ci ( imputable a la vitesse relative), par rapport a la masse organique jumelle,au repos ? Non, il me semble. Même si les conditions de vie peuvent jouer, le vieillissement des jumeaux sains (comme dans le paradoxe), dont l'un est isolé par son voyage rapide, relève de l'hygiène alimentaire et corporelle, mais surtout du phénomène naturel de biodégenèrescence.
Une fréquence n'a pas d'effet sur ce qui l'émet; un phénomène périodique externe n'agit pas sur la physiologie(comme le feraient l'alternance jour-nuit,ou les variations de températures par exemple), selon la durée qu'il a .Par contre il se comprend très bien que si le phénomène d'asynchronie par la vitesse relative n'est pas qu'apparente ,mais un effet physique bien réel ( je vous renvoie au cas de figure des observateurs, et a la durée de vie des particules,plus haut), que plus une unité de temps dure, moins leur nombre sera grand, relativement a un nombre d'unités plus courtes en durée.
Remplaçons les jumeaux du paradoxe par des jumelles.
Peut-on écrire avec prétention que la jumelle voyageuse (absente de notre planète durant cinq mois) aurait une seule menstruation ,tandis que sa soeur restée sur Terre elle, en aurait cinq ? Ce ne serait plus naturel pour la jeune femme voyageuse rapide !
Supposons que ces jumelles soient simultanément fécondées par leurs maris sur Terre,avant que l'une d'elles parte dans l'espace pour un voyage rapide.Les processus physiologiques,la gestation peuvent-ils se voir conditionnés par une succession de secondes a priori différentes en durée, selon qu'il y ait mouvement relatif,ou repos relatif; au point que la voyageuse serait biologiquement enceinte par exemple seulement d'un mois lors de son retour, tandis que dans le ventre de sa soeur l'embryon serait déjà devenu un foetus développé ? La théorie de la relativité ne prétend pas -a la lecture d'aujourd'hui- ce genre de choses, sauf erreur de ma part ?
Par les temps propres nous avons des mesures de la durée différentes dans chaque réfèrentiel.L'âge d'une personne est donc une notion relative.Ce qui ne veut pas dire qu'il y a vieillissement différent pour par exemple des jumeaux ,dont l'un se mouverait avec une très grande vitesse,par rapport a l'autre.
Pour une particule dont la durée de vie naturelle est brève(désintégration spontanée),et qui est accélèrée- par un champ électrique- vers la vitesse de la lumière, par rapport a une particule identique elle non accélèrée, la durée de vie mesurée est allongée par rapport a celle de la particule dite au repos.C'est ce que peuvent observer les physiciens grâce aux accélèrateurs de particules.Pour
un observateur qui serait lui même en mouvement rapide,et constant en vitesse,par rapport a ces particules accélèrées, en ayant une horloge atomique(pourtant synchronisée au repos),la mesure de la durée de vie de celles-ci serait encore différente- des points de vues non concordants entre un observateur au repos,et un observateur en mouvement, aucun n'est plus exact que l'autre- : il s'agit donc de notions relatives,aussi bien pour la durée, que pour l'âge ! Quoique je n'en sache pas davantage qu'un relativiste compétent, je puis dire que la théorie de la relativité est subtile dans ses énoncés (ce qui cause des mésinterprétations quand les termes employés dans des écrits: « écoulement de temps ,etc » faussent la perception du lecteur.Mais un auteur peut toujours parfaire ses écrits).
S'il ne faut pas confondre, ce que mesure par sa fréquence une horloge atomique,avec ce que produisent les forces de frottements sur elle : « l'usure » ,car dans le second cas il y a interaction; il ne faut pas non plus inventer un rapport de causalité entre le paramètre -temporel- mesuré périodiquement(unité de temps,variable-dilatable- en durée),et les effets physiques que l'on peut constater. Le phénomène temporel ne peut ralentir, ni accélèrer ; ni -ce qui est important- être ralenti,et accélèrer(positivement): la vitesse est une dérivée du temps, et joue sur la fréquence des horloges mues.Quand a la mesure de la durée, elle est relative.
Le paradoxe de Paul Langevin.
Parler d'âge différent pour les jumeaux, reviendrait a dire que, entre l'instant de leur naissance,et celui de leur réunion le voyage a grande vitesse relative de l'un achevé,la durée de vie des deux serait différente : ce qui signifierait un vieillissement inégal des deux frères.Alors que c'est tout simplement la mesure de la durée,qui n'est pas identique.L'horloge référentielle, et l'horloge qui fut mobile par rapport a elle ne sont en théorie plus synchrones,contrairement antérieurement au départ de la seconde pour l'espace vide.
S'il y a contraction(réduction de volume) de la masse d'une particule instable, accélèrée,celle-ci se désintègre moins rapidement que si elle se trouvait au « repos » ,avec une cohesion interne moindre( la clé est là a mon avis).
Mais s'il y a contraction massique du vivant par l'accélèration, et abaissement de la fréquence oscillatoire des atomes constituants cette masse, y a t'il pour autant une préservation de celle-ci ( imputable a la vitesse relative), par rapport a la masse organique jumelle,au repos ? Non, il me semble. Même si les conditions de vie peuvent jouer, le vieillissement des jumeaux sains (comme dans le paradoxe), dont l'un est isolé par son voyage rapide, relève de l'hygiène alimentaire et corporelle, mais surtout du phénomène naturel de biodégenèrescence.
Une fréquence n'a pas d'effet sur ce qui l'émet; un phénomène périodique externe n'agit pas sur la physiologie(comme le feraient l'alternance jour-nuit,ou les variations de températures par exemple), selon la durée qu'il a .Par contre il se comprend très bien que si le phénomène d'asynchronie par la vitesse relative n'est pas qu'apparente ,mais un effet physique bien réel ( je vous renvoie au cas de figure des observateurs, et a la durée de vie des particules,plus haut), que plus une unité de temps dure, moins leur nombre sera grand, relativement a un nombre d'unités plus courtes en durée.
Remplaçons les jumeaux du paradoxe par des jumelles.
Peut-on écrire avec prétention que la jumelle voyageuse (absente de notre planète durant cinq mois) aurait une seule menstruation ,tandis que sa soeur restée sur Terre elle, en aurait cinq ? Ce ne serait plus naturel pour la jeune femme voyageuse rapide !
Supposons que ces jumelles soient simultanément fécondées par leurs maris sur Terre,avant que l'une d'elles parte dans l'espace pour un voyage rapide.Les processus physiologiques,la gestation peuvent-ils se voir conditionnés par une succession de secondes a priori différentes en durée, selon qu'il y ait mouvement relatif,ou repos relatif; au point que la voyageuse serait biologiquement enceinte par exemple seulement d'un mois lors de son retour, tandis que dans le ventre de sa soeur l'embryon serait déjà devenu un foetus développé ? La théorie de la relativité ne prétend pas -a la lecture d'aujourd'hui- ce genre de choses, sauf erreur de ma part ?
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