Monday, January 26, 2009

Un effet ne pouvant être nul !
Si le poids d'un objet dépend « d'une attraction gravifique », qu'il subit, et qui varie selon le lieu et la distance auxquels il se trouve par rapport au centre d'un corps massif exerçant cette « attraction »,alors comme l'eau est par exemple 800 fois plus dense que l'air, cette matière ne peut qu'avoir un effet mesurable, si au lieu d'un contenant supportant un plan horizontal soutenant un objet, empli du gaz, nous avons les mêmes conditions mais un contenant empli du liquide précité.
Ne doit-il pas y avoir en pesanteur de l'ensemble, plus que l'addition des poids individuels, si le contenant, le contenu, et le plan « attirent » l'objet se trouvant posé au dessus, comme le corps massif le fait sur le tout ? *
Si la physique dit vrai concernant la pesanteur, cet objet ne peut avoir un poids identique, selon que le contenant contienne, de l'air, de l'eau, du sable,du plomb coulé, etc; car vu les differences de densité de ces matières doit exister une modification détectable du poids qui nous interesse : celui de l'objet posé sur le plan horizontal. Sinon il est permis de douter d'une attraction entres matières !
Expérience proposée.
Lorsque des hommes retourneront sur la lune, je leur propose de vérifier si des objets de masses différentes rendus libres d'une même hauteur simultanément, ont véritablement une vitesse de chute
plus lente que si l'expérience se déroulait sur Terre ? L'absence de résistance au mouvement, dont on doit tenir compte dans ce cas de figure sélène en tant qu'expérimentateur, ne devrait en effet pas empêcher les objets de tomber moins rapidement (ce qui pourrait se vérifier au moyen d'une caméra, filmant la chute des objets devant un plan vertical comportant des indications de mesures), si ce qui est enseigné en physique est exact !
Je postule que la rapidité du mouvement de chute ne serait pas inférieure a ce qu'elle est en moyenne sur notre planète, et que ce mouvement pourrait même être uniforme !


* Un objet posé au sol voit son poids déterminé par la « force d'attraction » du lieu ( et le poids de l'air – dépendant de sa densité- déplacé par son volume, est soustrait a sa pesanteur).Si on élève cet objet, sa pesanteur diminue comme le démontre une pesée par traction vers le bas, puisque le champ de pesanteur varie.Mais si on l'élève en intercalant simplement par exemple une masse en plomb d'une longueur de 1mètre entre lui et le sol, et faisant ainsi office de support, il n'est pas certain qu'il perde du poids; en effet, la masse en plomb ajoute son attraction a celle du lieu.L'objet lui-même attire plomb et Terre(il y a aussi action et réaction par contact direct entre lui et le plomb) ; son attraction dépend de sa masse, et non de sa pesanteur (qui elle, est variable), force décroissante avec la distance.
Même si l'effet de l'action de la masse en plomb est infinitésimal, il doit pouvoir être mesuré;
autrement l'attraction n'existe pas !
On ne peut ainsi additionner des poids individuels pour trouver le poids d'un ensemble d'objets posés verticalement les uns sur les autres; et le poids de celui reposant sur la masse des autres, doit être le plus modifié par rapport a une pesée individuelle de sa propre masse, si la physique dit vrai en ce qui concerne la gravité.l'on peut s'affranchir d'une élévation de cet objet au dessus du sol, en faisant l'expérience dans une cavité après avoir pris des mesures gravimètriques, fait des pesées, etc.

Tuesday, July 08, 2008

Une expérience banale, décisive ?!
Je propose l'expérience suivante afin de vérifier les effets de marée, l'interaction gravitationnelle a distance : placés dans une enceinte transparente et vide d'air, nous aurions, posée sur un socle pouvant tourner autour de son axe vertical a la demande – grâce a une télécommande- en évitant les forces de frottements, une sphère « A », creuse emplie d'eau.
A distance de cet axe nous aurions un circuit circulaire, avec une chaîne mobile sur commande également, mouvant une sphère pleine massive « B »; chaîne dont la direction de déplacement pourrait être inversée après arrêt passager.
Selon le sens dans lequel aurait lieu la giration non libre de cette dernière, il devrait y avoir accélération , ou décélération du mouvement de rotation de la sphère « A » . ces effets devraient varier si l'on remplaçait « B », par une sphère pleine « C », plus ou moins massive qu'elle.
Sans exclure d'autres effets parasites( rayonnements, etc), pour éliminer les vibrations dues a l'entrainement de la chaîne par un mécanisme l'on pourrait – suggestion pertinente ? - évider sur une profondeur donnée une partie de l'espace circulaire séparant cette chaîne du centre, où se trouverait l'axe supportant la sphère « A » .
Pour ma part je m'attends a une absence d'effets gravitationnels, et c'est bien pour cela que je propose cette expérience afin de vérifier mon hypothèse. Hypothèse que d'emblée maints physiciens vont éluder, c'est certain.
Si la physique ne fait erreur, ces effets gravitationnels ne peuvent qu'exister dans les conditions expérimentales ici suggérées( elles peuvent en effet êtres améliorées probablement, donc « suggestion » est peut-être préférable a « proposition »); mais quelles personnes auront assez d'humilité pour vérifier- grâce a des instruments de mesure- la validité de ce que la science croit savoir en ce domaine ?
Ce n'est pas la recherche de notoriété qui me motive, mais celle de la vérité. Si mon hypothèse est erronée, j'offre, a qui réaliserai cette expérience, une occasion de me le prouver.
Bien que l'on dise les objets spatiaux -censés interagir a distance entre-eux -( la Terre, la Lune etc ) apesants, il est bien évident que dans des conditions de micro-gravité, les effets gravitationnels, tels que ceux présumés exister dans l'expérience proposée, ne pourraient se vérifier, puisque cette expérience est irréalisable si les objets sont « apesants », tandis que logiquement ils sont censés déformer l'espace-temps eux aussi (donc interagir entre-eux).

Friday, June 20, 2008

La gravité, une évidente banalité ?
Je suis d'avis deja que ce n'est pas par « attraction » qu'elle existe, mais uniquement par contact direct. Certes c'est ici un travail de réflexion, et la science n'aime pas les remises en cause : il faut intégrer les travaux antérieurs ayant aboutis a des acquis, en plus de prédire des effets nouveaux.
Je prédis l'absence d'effets gravitationnels qui seraient produits par attraction, en proposant ci-dessous des expériences.
Je suis convaincu que la pression verticale dirigée de haut en bas, par un objet massif posé au milieu d'un plan horizontal carré- recouvrant une cavité d'une superficie moindre-, sur ce dernier, est indépendante en un lieu de la nature du sous-sol au fond de cette cavité. La déformation de ce plan horizontal sous l'action de la masse de l'objet dépendra tout simplement de la nature du matériau, et de son épaisseur.
Selon moi la masse déformant le plan n'est pas « attirée » vers le bas par le sous-sol a distance d'elle (selon un axe centre de la Terre- surface de la planète); car si tel était le cas la déformation du plan varierait en fonction de la nature du sous-sol, censé localement exercer une action ( directe ou indirecte )dépendante de la densité qu'il aurait, a distance sur cette masse.
L'on peut s'en convaincre, car la déformation du plan horizontal devrait également varier sensiblement en fonction de la profondeur de la cavité, si depuis le sous-sol c'était ce dernier qui causait cette déformation en agissant a travers, et sur lui, comme sur l'objet .
En supposant que cette cavité soit imperméable a tout liquide, on peut imaginer la remplir jusqu'à un niveau identique successivement avec des liquides différents (après nettoyage suivant le pompage- refoulement), cela dans le but de mesurer une éventuelle variation de la pesanteur de l'objet massif sur le plan grâce a des capteurs mesurant les variations de déformations supputées du plan horizontal imperméable et assez flexible pour répondre sensiblement aux effets variables attendus des liquides de densité différentes, vers le haut ( donc en éliminant les effets de la pression variable du volume d'air pris entre le plan et les différents liquides selon la densité de ces derniers, en mesurant la température de l'air, des liquides, afin de filtrer les effets gravitationnels supposés vers le haut ).
L'on pourrait aussi faire des expériences en labo, avec une simple caisse emplie successivement de matières solides fort différentes en densité ( plomb,bois, etc), et en laissant un vide permettant a un matériau plan posé dessus de se déformer sous l'action d'un objet capable de le faire ployer de façon sensiblement mesurable.
Enfin, l'on peut remplacer l'objet pesant par une horloge atomique dite sensible aux déformations d'un espace-temps.
Un documentaire sur la ceinture de feu, problème critique pour la ville de Tokyo au japon, m'a fait réfléchir au fait que, moins une couche géologique en profondeur est dense, plus la masse de la ville japonaise exerce une pression forte sur elle : ce n'est pas la propre densité de cette couche qui « attire » la ville vers le bas de façon a ce qu'elle la compresse en tendant a descendre. Moins une matière présente en profondeur, est dense, plus sa réaction a la pression dirigée de haut en bas vers elle est faible; ce n'est donc pas plus cette matière que le centre de la Terre qui attire les couches situées au dessus, ni la ville de Tokyo !
Songez que si la pesanteur de la Terre ( et non sa masse) varie avec la vitesse de son mouvement de translation, sous l'effet d'une contraction variant avec la force d'inertie, qu'alors la pesanteur d'un objet quelconque – placé là pour expérience- se trouvant au pôle nord, devrait varier elle aussi, mais nous n'aurons que des effets inertiels !
Il n'y aura pas d'action indirecte de la part de la masse terrestre sur l'objet qui tendra (via un espace-temps déformé davantage temporairement) a le rapprocher,et a atténuer la tendance a se décoller de façon infime du sol par réaction inertielle aux variations de vitesse. J'en suis pour ma part certain, mais seule la vérification au moyen d'expériences scientifiques menées avec toute la rigueur indispensable peuvent trancher. Surtout que la masse de la Terre, se comporte pareillement a l'objet sur sa surface,sous l'effet d'une force d'inertie, et que si une variation infime de la pression de l'objet peut être dénoncée par une balance sensible intercalée, celle infime de la contrepression du sol,ou force de réaction, pourrait être occultée en tant que effet par la force d'inertie de la Terre.
Faire ces expériences requiert du matériel, et des compétences pour traduire correctement toutes les mesures, éliminer les effets parasites, etc .....
Une critique constructive peut amener le doute sur la fiabilité des acquis, la science évoluant parce que avant chaque transition la science croit « savoir » : tout est donc dans l'interprétation des effets, et dans des approximations !
La science préfèrera cependant tout simplement négliger cette hypothèse, que de la vérifier ( et ce ne sera pas uniquement pour une question de coût
Le phénomène de gravité serait-il intrinsèque aux matières ?
L'on devrait par exemple encore, savoir satelliser un objet depuis la lune sur une orbite dépassant largement le point dit de Lagrange ( point de l'équilibre gravitationnel a distance, supposé, et purement théorique ), et tout objet libéré depuis ce satellite pourrait se mettre lui aussi en orbite autour de cette planète, révélant alors qu'il ne subit aucune « attraction plus forte de la part de la Terre » et que s'il orbite ce n'est pas par attraction, mais a cause selon moi du fait que tout objet lancé l'est par une force contraignante variable dans le temps, et non constante en énergie. Il est de moins en moins aisé pour cette force de mobiliser l'objet dans la direction dans laquelle elle fut imprimée;la force inertielle proportionnelle a la masse de l'objet représente alors une énergie variable dirigée perpendiculairement- vers la lune. Mais comme cet objet perdant de l'énergie cinétique dans la direction de son déplacement ne sait virer a angle droit vers ici la lune, il va orbiter ( n'étant freiné par le vide)si sa vitesse reste suffisante. La masse du satellite naturel de la Terre n'agirait donc en fait absolument pas a distance sur l'objet – non livré a lui-même, mais mû par une force variable- pour que son mouvement soit curviligne, et pour finir circumlunaire par prolongement.
Réfléchissez bien au fait que si vous jetez un objet vers le haut, la force imprimée ne peut agir indéfiniment : l'altitude qu'atteindra l'objet variera selon la force du lancer exercée par chacun de vous, ainsi le dit objet mettra un temps a rejoindre le sol, dépendant de l'altitude de sa chute. Sa vitesse variera car la force centrifuge de la Terre varie avec la distance ( elle augmente depuis le centre de giration ). La vitesse horizontale d'un mât de cocagne n'est pas par exemple constante de bas en haut, et un objet glissant de haut en bas de ce mât sera de moins en moins « dévié » perpendiculairement a son mouvement de chute, donc accélèrera ! Sa pesanteur augmentera aussi, puisque la force centrifuge du couple terre- sphère gazeuse décroît de haut en bas.

Friday, March 21, 2008

Suite au paragraphe précèdent.

Pour en revenir a l'ascenseur dans le vide, dont l'observateur a l'interieur serait apesant sans avoir compris pourquoi !, parmi les objets en sa possession pourrait se trouver un moyen de détecter le mouvement de la cabine vers le « haut ». Il suffirait en effet a cet homme- s'il n'est pas un esprit médiocre comme disait A.E- d'utiliser un baton, une règle si ce materiel est présent.
Admettons que l'observateur soit en suspension dans la cabine a mi-hauteur – si c'est bien ainsi que A.E concevait les choses *1-, il pourrait tenir le baton, ou la règle sous lui par une extrémité et mettre l'autre en contact avec le plancher, et ainsi sentir une poussée lorsque la cabine s'ébranle!; alors qu'il ne pourrait se croire en chute, puisque ce baton empêcherait la distance entre son corps et le plancher de varier, contrairement aux lois physiques se rapportant a la gravité, et a la pesanteur. A l'observateur ahuri il semblerait que les autres objets ont un mouvement relatif accélèré : il comprendrait ! L'affirmation, comme quoi il n'est possible par aucun moyen a l'observateur a l'interieur de détecter le mouvement accélèré de la cabine est donc prise en défaut.
Certes l'expérience de pensée de A.Einstein, concernant un ascenseur isolé dans le vide, semble a première vue admirable. Mais si je veux approfondir, je suis bien obligé d'objecter que, même en l'absence de présumés champs de gravité aucun objet ne peut connaître l'immobilité, si rien ne lui fait équilibre, bien que sa masse et sa pesanteur soient indéterminées. L'absence totale de pesanteur n'étant pas un phénomène physique naturel si le mouvement est un déséquilibre rendant libre un objet *2.
Pour qu'un objet soit en suspension dans l'espace, il faut que sa densité soit égale a celle du milieu ambiant : difficile lorsqu'un objet est dans le vide !; bizarre qu'une loi physique élémentaire soit restreinte aux interactions matérielles directes : le vide ne sait être déplacé que s'il est incomplet, et qu'un objet est impénétrable; mais s'il y a absence de réaction de sa part, cela ne signifie pas qu'il y ait absence d'action- non mouvement linéaire- de la part de cet objet livré a sa propre masse inerte, qui ne peut s'auto-sustenter même si elle a un champ de force, faute de réaction a ce dernier, ni s'auto-diriger faute d'énergie motrice( Cette situation est comparable a celle d'un homme en mouvement, par absence de contact ferme sous ses pieds) d'autant plus que l'état de repos n'existe naturellement nulle part dans l'univers. Un état de repos relatif,lui non naturel se rencontre lorsqu'un objet se trouve dans un habitacle sur orbite. Lors d'une sortie extra-véhiculaire,un spationaute retenu par des cordons est soumis a une force centrifuge ( tout mouvement de rotation autour d'un centre en génère une, même si la science n'utilise plus ce terme dans le cas qui nous occupe).Digression :
Il suffirait que la vitesse de rotation de notre planète, soit 17 fois plus grande a son équateur, pour que l'intensité de la force centrifuge empêche toute chute : tous les objets se trouveraient localement en suspension.Tandis que la masse de la Terre resterait inchangée, au contraire de son rayon, car il y aurait probablement « dilatation » de cette masse.La force centrifuge serait responsable d'une moindre densité, moindre contraction de la masse, se verrait invoquée pour la suspension des objets, car je me demande comment pour cet empêchement lochaque spationaute va, par décèlération brutale,être soumise a une force d'inertie, et se trouvera en suspension avant que ne s'estompe les effets dus a cette force: cette suspension de la pesanteur ne perdurera pas , tout comme s'il s'agissait d'un vol, ou mouvement parabolique, contrairement a un mouvement libre, orbital, où les effets dus a la gravité disparaissent par compensation non passagère, mais continue, des masses selon que l'on croit a des forces d'inerties; ou parce que le satellite et les objets tombent circumplanètairement indéfiniment avec une égale vitesse( pas de support = pas de forces d'interactions).
Il est impossible d'adherer par gravité a un ballon en altitude, on le sait; mais ce n'est pas parce que la masse de la Terre « attirerait » davantage notre masse, car isolé du système planètaire, loin de tout corps massif, ce ballon ne permettrait a aucun autre objet d'y adherer par gravité.
La situation est modifiée si l'on imagine que ce ballon isolé vienne a gonfler jusqu'à ce que le volume soit énorme, sans que son enveloppe se déchire, grâce a une très grande élasticité. Il deviend alors a priori possible que tout objet venant a se poser sur cette surface et la déformant -en fonction de sa masse et de la résistance du matériau tendu-par contact direct sans la perforer, ne sache ensuite la quitter sans énergie mobilisant sa masse vers le « haut » , alors qu'il n'est point besoin de forces d'attractions gravitationnelles pour qu'un moteur agisse sur des roues et qu'existe des forces de frottements lorsque le support réagissant a l'action des roues permet le déplacement.
Cette gravité peut très bien exister par contact direct entre des objets, sans que l'espace soit déformé consécutivement par eux, ou qu'ils s'attirent. Il paraitraît absurde de dire que sans gravité a distance aucun impact d'un objet propulsé, ou en mouvement naturel,vers un autre ne pourrait être, puisque nous n'avons affaire qu'a des forces ( action et réaction).Tout au plus pourrait-on croire que le mouvement avant impact serait non accélèré gravitationnellement. Mais une balle de révolver tirée mécaniquement( et non par un homme) vers une cible fixée a une paroi serait-elle moins rapide dans des conditions de micro-gravité ?, j'en doute! Voilà qui serait a vérifier pendant un vol parabolique d'une caravelle,grâce a des gens compétents.
Mais encore a t'on vérifié qu'un objet laché au dessus de la surface lunaire par un astronaute fait réellement montre d'un mouvement- uniformément- accélèré ?calisé a la gravité, saurait être invoqué une absence de déformation de l'espace-temps, tout comme déjà est invoquée une variation de la densité interne de la planète ( donc d'une prétendue déformation spatio-temporelle ! )pour expliquer la variation du temps de chute libre des objets selon le lieu. La variation de l'intensité de la force centrifuge selon ces lieux ne suffit-elle pas ? Fin de digression.
Dans l'ascenseur imaginaire de A.Einstein, il est impossible a l'observateur de sauter vers le plancher,si son corps peut être en suspension a l'interieur : il ne se sent pas « tomber » , comme s'il était sur Terre et qu'un support se dérobait sous ses pieds; c'est le plancher qui se déplace vers ses pieds. Les deux situations ne sont pas comparables, même pour un lecteur manquant de sens critique et acceptant l'idée arbitraire d'une apesanteur par éloignement, car préconditionné intellectuellement déjà par les « lois Newtoniennes ». Un objet pèse differemment dans l'air et dans l'eau, et selon l'intensité de la force centrifuge en un lieu,mais cet objet n'est nulle part, de façon naturelle, sans gravité (puisque dans le vide il est difficile de parler de « pesanteur pour lui, par rapport a ce milieu ).
Imaginons qu'une fusée une fois partie de la Terre, continue son ascension dans le vide , et très loin de tout corps massif coupe ses moteurs ( certes la dépense d'énergie obligerait a des reserves inimaginables,comme le nombre de G, mais supposons ce cas de figure, possible);la masse de
*1.Je me base ici sur un article paru dans un HS de Science et Avenir,pour janvier et fevrier 2008. il y a des variantes dans la présentation de cette expérience de pensée Einsteinienne. Lui-même écrivait je crois que l'observateur se trouvait debout sur le plancher(il sentirait dès lors la poussée du plancher mobile, a laquelle réagiraient ses pieds), et risquait au moindre choc avec ce dernier, de s'élever; qu'il prenait en main des objets pour les lançer devant lui, et que suite au déplacement perpendiculaire accélèré de la cabine vers le « haut », leur trajectoire était courbe.
*2 .Alors que l'on sait que l'immobilité n'existe absolument pas dans l'univers pour un objet, il
est présupposé que lorsque le mouvement d'un objet est variable, existe localement un champ
de gravité.Or sauf erreur de ma part, un mât implanté en terre,n'a par son mouvement circulaire autour de l'axe de rotation de notre planète, pas une vitesse horizontale constante sur toute sa longueur : ce n'est pas une attraction qui agi ,si cette vitesse décroissante équivaut perpendiculairement a une vitesse croissante vers la Terre .

Monday, March 10, 2008

LA GRAVITATION


Une théorie fondée sur une théorie précèdente.
L'expérience de pensée d'Albert Einstein faisant intervenir un ascenseur est discutable, pour la simple raison qu'un observateur a besoin de respirer !
A moins d'une combinaison spatiale pour l'observateur présent dans une cabine opaque on se demande comment celui-ci pourrait en outre observer ce qui se passe au dessus, a l'extérieur donc ?
Si de l'air est présent dans la cabine et que les objets sont apesants, ils vont subir la réaction inertielle du gaz au mouvement accéléré ( qualifié de mouvement vers le « haut », par rapport a quoi : le « plancher de la cabine » ? , une « masse a l'extérieur » ? ), identiquement . Par exemple une feuille de papier aura une vitesse de pseudo chute, indifférenciée par rapport a des objets plus massifs. Ce qui dans un champ de gravitation incluant une observation ne peut-être, a moins que l'observateur soit en combinaison spatiale, et sur la lune; tandis que des objets réellement livrés a eux- mêmes une fois lâchés, chutent.
Sur Terre, en raison de la résistance de l'air tous les objets plus massifs qu'une feuille de papier, s'ils accélérent bien identiquement ne mettent pourtant pas un temps identique a rejoindre le sol; sol qui réagit de façon constante et diversement une fois passé l'impact de ces objets. Tandis que ce n'est pas le cas pour le plancher de la cabine spatiale.
Il y a également un choix arbitraire de non pesanteur des objets manipulés par l'observateur dans la cabine ( alors que le mouvement de cette dernière est linéaire, et non pas circulaire ), choix motivé uniquement par la considération de l'hypothèse de Newton : masse inerte = masse apesante; alors que la gravité pourrait très bien être un phénomène intrinsèque, ne nécessitant aucun champ de gravitation, mais s'exerçant par contact direct (effets).Aucun objet ne peut demeurer en suspension dans le vide, et le repos n'existe pour aucun d'eux , que ce soit a l'extérieur de la cabine, ou a l'interieur. Il ne peut y avoir que « mouvement inertiel », et non axé dans une direction précise puisque cela n'a aucun sens dans l'univers(il n'a pas de centre), la notion de « bas » étant relative a une surface planétaire sur laquelle l'on se trouve.
Depuis cette surface il n'est point besoin qu'un objet soit attiré gravitationnellement pour que, faute d'une énergie croissante vainquant la résistance variable de l'air sur des km et assurant continuement sa mobilité, un objet lancé vers le « haut » et victime d'une force d'inertie variable causant une perte d'energie cinétique, revienne. Plus dense que l'air, et incapable de s'auto-mouvoir dans une direction autre- choisie- en tant que masse inerte livrée a elle-même, la direction du retour est une direction privilégiée, subie par l'objet.Prenez le en main et lancez le dans une direction parallèle au sol, son mouvement sera cette fois parabolique : ce que l'objet va perdre en énergie cinétique dans la direction de la force imprimée- sous l'effet de la résistance de l'air, et de sa force d'inertie variables, il va le gagner en énergie gravitationnelle par la perte d'altitude ( combinaison des mouvements perpendiculaires, et conservation de l'énergie). Lancez le en atmosphère raréfiée avec une vitesse suffisante, il orbitera ! Il est impossible a un objet sans moteur de modifier sa trajectoire : il ne peut donc tomber a angle droit.
Songez que si la pesanteur de la Terre ( et non sa masse) varie avec la vitesse de son mouvement de translation, sous l'effet d'une contraction variant avec la force d'inertie, qu'alors la pesanteur d'un objet quelconque – placé là pour expérience- se trouvant a l'est au bon endroit, devrait varier elle aussi, mais nous n'aurons que des effets inertiels !
La masse d'une planète n'attire donc pas – indirectement par déformation variable d'un espace-temps-d'autant plus les autres objets semble t'il, qu'elle serait contractée par une force d'inertie croissante, si la pression de ces objets sur le sol diminue a cause des variations des forces d'inerties imputables aux variations de vitesse de la Terre ( dont la contrepression localement envers les objets varie, puisque elle réagit vers l'arrière ).Le milieu atmosphérique, dont la pression s'exerce sur le sol a l'EST, n'a a priori pas de réaction inertielle qui serait imputable au mouvement de translation de la terre, donc dans le sens opposé a la direction EST-OUEST si la vitesse de ce mouvement linéaire est régulière. Mais comme l'orbite est elliptique la vitesse de notre planète varie : elle augmente en décembre-janvier, puis diminue a partir du solstice de juin; l'accélération positive doit donc faire varier la réaction inertielle de notre planète, et des objets situés a l'est ( l'on devrait pouvoir vérifier donc l'absence d'une action gravitationnelle plus forte de la part des objets, alors que la Terre est supposée se contracter - se densifier dans la direction de son mouvement - accéléré ).
Vous objecterez : « que faites vous des marées de mer et de Terre, si vous critiquez l'hypothèse d'une attraction gravitationnelle ? » , je ne puis que suggerer de tenir compte du fait que du côté diurne et nocturne une force centrifuge s'exerçe par la rotation de notre planète sur son axe; tandis que côté nocturne uniquement s'y ajoute – sauf erreur de ma part- l'effet du mouvement elliptique de celle-ci autour de notre étoile.
J'ajouterai que, plus vous approchez le centre de la Terre- grâce a une mine profonde-, plus votre poids augmente, puisque les effets de la force centrifuge sur votre masse diminuent.
Si je ne me trompe un mât de cocagne par exemple n'a pas une vitesse horizontale constante de haut en bas,sur sa longueur, et c'est donc comme si ce mât accélérait en direction du centre de la Terre, puisque la « vitesse du mouvement horizontal conservé « va decrescendo, ce qui augmente la vitesse dirigée perpendiculairement due a la gravité.
La lune.
Un objet devrait tomber moins rapidement au dessus de cette planète, qu'au dessus de la notre, plus massive. En tenant compte de l'absence de résistance opposée au mouvement de cet objet livré a la gravité, l'on devrait vérifier en 2015, 2018 , si réellement le temps de chute depuis une altitude précise est plus important que sur Terre en un lieu défini.
Une caméra sur trépied, une règle graduée, avec un objet pouvant coulisser sur commande, un fil a plomb devraient comme matériel suffirent ?
Représentons nous un banal sablier : les grains de silice devraient s'écouler lentement – par rapport a ce qui est sur notre planète, disons a Paris – si l'on retournait cet outil de mesure ( ce qui évidemment ne voudrait pas dire qu'un temps présumé s'écoule avec une vitesse différente que sur Terre, a Paris, où l'espace serait plus déformé ! ) : je trouve cela absurde personnellement, sans me référer néanmoins a la force centrifuge plutôt faible sur la lune, comparativement a celle de notre planète, a Paris dans ses effets sur la pesanteur. Je suis convaincu que les grains de sable subissent une gravité intrinsèque, que leur inertie massique et l'absence de support les conduisent vers le fond; dans la partie du sablier où ils se trouvaient avant l'inversion par manipulation humaine, si celui-ci était dans la position verticale.En tenant compte des effets parasites ( milieu, et forces d'inerties, ou centrifuges), il devrait être facile et très peu coûteux de vérifier, grâce a des mesures rigoureuses, la vitesse d'écoulement du sable, et donc de vérifier si la masse d'une planète joue un rôle, comme la science croit le savoir ?
Vous allez me dire : « eh ben non ! Vous avez tort mon cher monsieur; tout prouve qu'Albert Einstein, Newton avaient raison » ? Ce serait donc l'occasion de le vérifier lorsque des américains reposeront le pied sur la Lune . Si les résultats des mesures sont honnêtement en ma défaveur j'assumerai mon erreur.
Ce sont des propositions, et non des affirmations péremptoires bien entendu.Mais je crois avoir été logique dans mes argumentations – critique constructive- ?

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Wednesday, February 21, 2007

Considérons un engin au repos,et comportant a chaque extrémité interne de sa longueur,une horloge; et que celles-ci se font face.
Si l'on utilise un miroir placé a côté de l'une de ces horloges synchronisées manuellement,de façon a ce que l'on puisse voir simultanément l'instant qu'elles indiquent ,l'on observe que l'horloge reflétée semble retarder par rapport a l'autre horloge.Alors que si ce miroir est placé a 45° au milieu de la longueur,comme la lumière se propage sur une égale distance ,les instants observés simultanément dans le miroir coïncident.
Il est alors évident que si cet engin se met en mouvement ,dans par exemple une direction horizontale par rapport a la Terre ,que ce déplacement linéaire aura un effet sur le temps de propagation de l'image de chaque horloge vers le miroir situé d'un côté et au milieu de sa longueur.Donc l'apparente asynchronie entre elles est due au déplacement linéaire du système ,rendant inégale la distance qu'a à parcourir la lumière.En effet si un miroir est placé a côté de chacune des horloges, le mouvement partagé du dispositif en ligne droite va jouer sur le temps
de propagation de l'image des horloges allant se reflèter sur les miroirs. L'horloge située à l'avant va se reflèter plus rapidement, puisque le miroir avance vers les photons. Cette horloge semblera donc moins retarder, que celle située a l'arrière dont on observera le reflet sur un miroir situé a l'avant, puisque la lumière se propage légèrement plus longtemps. Selon la théorie de la R.R cependant c'est l'horloge située a l'avant qui doit retarder, et pour un observateur exterieur au repos l'effet Doppler tend a confirmer cela.
Le postulat d'une variation de l'écoulement de temps, repose sur la variation de l'intervalle d'espace. Je peux en effet très bien postuler que aucun temps intrinsèque ne doit s'écouler,pour qu'un intervalle variable d'espace joue sur la distance que la lumière a à parcourir a gauche et a droite vers le miroir, et que c'est la cause unique de l'apparente asynchronie ; sans que l'on puisse infirmer cette vision des choses, préjuger que j'ai tôrt .
Nous pourrions remplacer les horloges par des cristaux, qui résonent entre eux lorsque l’engin est au repos, et qui restent en résonance lorsque cet engin est en mouvement uniforme ( leur niveau d’énergie est exactement identique - 1); car si leur fréquence d’émission d’énergie baisse pour un observateur extérieur au repos, la fréquence de ces deux cristaux reste identique en partageant ce mouvement uniforme en vitesse et direction ( si le mouvement est accélèré cela aura simplement un effet variable et différent sur la fréquence d'émission de chaque cristal). Nous retrouvons le cas des horloges(se reflétant dans un miroir a 45° )animées de la même vitesse et paraissant fonctionner différemment, a cause du mouvement , et donc de la variation de l’intervalle d’espace dans lequel se propagent des ondes ayant une vitesse fixe. Sans avoir a postuler de temps intrinsèque, a écoulement variable .
D'ailleurs croit-on encore aujourd'hui que par exemple la mouche du figuier vivrait plus d'une journée (sa durée de vie naturelle ), si elle était a bord d'un engin spatial se déplaçant a une vitesse proche de celle qu'a la lumière ? Non, j'en doute car trop absurde serait cette croyance.
Est-ce dire que la dilatation du temps n'aurait d'effet que sur les seules particules ? Ou admettre que cette « dilatation d'un temps qui s'écoulerait » n'est qu'apparente; purement observationnelle ? La contraction variable du volume des objets microscopiques, accélèrés vers la vitesse de la lumière, s'opposant a une désintégration rapide; comme dans le cas de particules identiques mais au repos par rapport a elles.
-1) Si l'on a pas la bonne longueur d'onde pour produire l'effet photoélectrique , l'on a beau déplacer en continu la source monochromatique de façon a augmenter la fréquence de corpuscules dans le temps , leur énergie reste insuffisante.C'est ce genre de modification apparente de la fréquence (effet Doppler)d'émission, qu'introduit un engin en mouvement, et comportant des horloges ou des cristaux a ses extrémités internes avant et arrière .

Tuesday, February 20, 2007

Proposition,et postulat.
L'on peut se déplacer rectilignement avec la vitesse que l'on veut, les photons arrivant dans nos yeux possèdent toujours la même énergie – cinétique- ; celle des longueurs d'ondes correspondant aux couleurs étant inégale (c'est une question de fréquence). Donc cette vitesse de propagation de la lumière est constante -dans un même milieu,dans toutes les directions- quelle que soit la vitesse linéaire des yeux interceptant photochimiquement cette partie visible du spectre E.M .Seule la quantité d'énergie reçue peut a priori endommager les yeux : chacun sait qu'il ne faut pas regarder trop longuement le Soleil; sans qu'une addition des vitesses- impacts photons-recepteurs- entre en jeu (la fréquence varie alors par effet Doppler-Fizeau ).Un spationaute sur la lune se trouve dans le vide et les recepteurs de ses yeux reçoivent la même énergie photonique, même si celle cinétique est a priori un peu plus grande par absence d'absorption- réémission lors de la propagation.
La loi Galiléenne d'addition des vitesses n'est pas valide pour la lumière, qui se propage avec une vitesse propre- sans support-, et constante.
Cependant tout le monde sait, grâce au physicien Fizeau, que la vitesse d’un rayon lumineux dans l’eau n’est pas égale dans toutes les directions, si celle-ci est courante. Pour une propagation a contre-courant par exemple les photons perdent de la vitesse, par rapport a une propagation a une propagation dans la direction contraire. Mais l'énergie cinétique du milieu traversé par les photons est axée dans une direction translatoire; donc celle des photons elle ne change pas selon leur direction de propagation par rapport a ce milieu.
Une masse gazeuse ( l'atmosphère) en mouvement de translation et pénétrée par la lumière d'une étoile – par exemple parallèlement a la surface de la Terre- pourrait donc jouer le même rôle; ce qui paradoxalement égaliserait la vitesse de propagation, puisque les mesures se font dans le milieu gazeux .
: sur la longueur de cet espace transparent aérien et mobile, traversé en direction inverse a celle de leur propagation, les photons sont freinés(réfraction légèrement plus importante que si le milieu était au repos).
: sur une longueur d'espace transparent et ,mobile, traversé dans le sens de propagation ,les photons bénéficient du « courant » et ont donc une vitesse plus grande(indice de réfraction supposé différent ).
: sur des distances qui seraient inégales s'il n'y avait l'atmosphère , la lumière conserverait donc la vitesse qu’on lui connaît dans l’air avec absorptions et réémissions différente dans le sens du « courant » et a « contre-courant » (translation de notre planète,et donc de son enveloppe gazeuse);voila mon postulat énoncé donc.
En 1 nous avons actuellement le postulat d'une contraction théorique de la masse gazeuse,dans la direction de son mouvement de translation avec la Terre.
En 2 nous avons actuellement le postulat d'une dilatation d'un présumé écoulement de temps (devenu variable,vu la vitesse fixe de la lumière,et une définition physique du concept de simultanéité ).
Un physicien compétent (professionnel) pourra dire si ces raisonnements sont corrects ,ou pris en défaut.