Tuesday, January 30, 2007

Le temps, un mythe résolu ?
Admettons que le temps censé s’écouler du passé vers le futur, puisse être stoppé : cesserait-on – en tant qu’êtres sains de corps et d’esprit - de subir une biodégènerescence ? Bien sûr que non ! ; le penser serait absurde de notre part. Puisque l’organisme se dégrade a cause d’interactions physiques- et non sous l’effet d’un phénomène non concret ,qui passe - ,telle l’oxydation , d’autant plus néfastes que la réparation est moins bonne(ce sont elles qu’il faudrait réparer toujours a 100%,a défaut de les stopper) ;et que des bébés continueraient a naître après leur conception ,comme d’ailleurs des évènements et interactions continueraient de se produire (loi de causalité ),un temps n’étant pas la cause de tout cela (la nature en fait l’économie ),il a peu de chance d’exister intrinsèquement – c'est-à-dire indépendamment de la matière et de l’énergie.
Pour arrêter le « cours du temps », il nous faudrait donc stopper le vieillissement : la vitesse a laquelle l’on se déplace ne pourrait dès lors plus être soupçonnée le faire varier par un pseudo effet temporel négatif , ou positif sur notre organisme .
Qu’un temps existe ou non, je ne vois pas ce qui change ? , puisque de la vitesse a laquelle je translate dans l’espace, et de la distance entre le point A et le point B, vont dépendrent l’importance (interprétée chronologiquement, puisque la vitesse - relative – est connue grâce a l’invention d’un instrument de mesure ) de la non immédiateté de ma présence au point B ! Encore une fois la nature fait l’économie d’un phénomène acausal .L’usure des pneus par frottements avec la route, celle de la voiture par frottements avec l’air, la dépense d’énergie, l’action du moteur et la réaction du sol seront strictement identiques ,que l’on imagine qu’un temps s’écoule ,ou que l’on s’en tienne a la négation de sa réalité .Car enfin l’interaction qu’est l’usure peut-elle être attribuée a un temps qui passe ? Peut-elle dépendre de la réalité d’un tel phénomène improuvable ? , non .Eh bien il en est de même pour toutes les interactions physiques !
Prouvez moi ,que sans lui rien ne serait !

Monday, January 29, 2007

La mesure de la durée est relative.

La théorie d'Albert Einstein a évolué : la masse est a présent dite invariante avec la vitesse relative.Le vivant n'est pas conditionné dans sa dégenerescence par le partage d'un mouvement naturel ou artificiel ;donc par des vitesses relatives variables.

Supposons que le jumeau voyageur - « paradoxe » de P .Langevin - emmène du tritium dans un conteneur en plomb, a bord d’un engin qui se déplace ensuite dans le vide avec une vitesse proche de c. Imaginer que ce voyageur aurait vieillit par exemple moitié moins que son frère jumeau demeuré sur Terre ,pourrait prendre une teneur plus réaliste si le tritium a bord se désintégrait deux fois moins rapidement qu’un échantillon témoin laissé sur Terre dans un conteneur en plomb ,sur le lieu référentiel . Comme la mesure de la durée est relative, j’ai personnellement tendance a avoir un point de vue noniste, quant a la possibilité d’une désintégration deux fois plus lente ; mesurée par un détecteur/compteur de corpuscules émis (avec absorption,et rétention par un matériau se trouvant dans le conteneur), par rapport a la mesure du taux de radioactivité du même élément sur Terre (l’échantillon témoin ).

S’il y a contraction de la masse globale du tritium embarqué, et transporté a une vitesse proche de celle qu’a la lumière (après bien entendu une longue accèlèration relative), cela pourrait être la cause véritable (contraction = réduction du volume de matière radioactive ) du « ralentissement » relatif du phénomène de désintégration(fréquence d'émission de corpuscules ,moins élevée) ; phénomène a ne surtout pas réduire a un hypothétique ralentissement d’un présumé phénomène temporel(version non pédagogique), par la vitesse du mouvement linéaire du mobile dans le vide. Le temps n'a pas de vitesse d'écoulement, une vitesse étant une dérivée du temps.C'est d'ailleurs pourquoi l'on parle de « dilatation » du temps,et de temps propres .

Si l'univers est âgé de treize milliards d'années (par exemple),c'est également « l'âge » du temps présumé : sa durée – indépendamment des temps propres .Mais si la matière s'est formée a partir d'énergie (la singularité);a partir de quoi s'est-il formé ce fameux « temps »?
De quoi est-il fait ? De quoi est-il né ? Son support ?

Ne reste que l'énergie,et un commencement avec le big bang (sans commencement ,l'univers serait sans âge ).Je suis d'avis que la nature fait l'économie du phénomène acausal qu'est le « temps » .L'homme en a besoin lui en science (établir une chronologie et modéliser, mesurer les vitesses,la stratification caetera ),et l'a donc inventé !

Je rappelle que ce n'est pas parce que la perception visuelle d'un événement n'est pas instantanée,et que la vitesse de la lumière est constante,qu'un phénomène temporel existe intrinsèquement : ce n'est qu'un paramètre sans utilité dans la nature.

En admettant que le concept de temps soit révisé un jour quant a la réalité intrinsèque du phénomène, la théorie de la relativité -même génèrale- resterait valide,cette coordonnée appelée quatrième dimension deviendrait simplement fictive.Ce paramètre ,surtout chronologique, fait partie a jamais de la science,et de la vie de tous les jours.

Thursday, January 25, 2007

Le temps- encore et toujours.
La loi de causalité définit un sens irréversible aux interactions physique (cause = effet ), elle n'implique pas qu'un phénomène intrinsèque intervienne en plus ( acausalité ) de la cause physique de ces interactions du moins vers le plus depuis un commencement .Chronos est un paramètre ,dont la preuve n'est pas faite,qu'il existe indépendamment des interactions physiques. C'est comme si l'on attribuait l'usure,l'érosion non a des forces de frottements ,mais a un temps censé passer! Que l'on décretait que sans « ce temps » ces interactions entre matière (ou énergie et matière)ne s'exerçeraient ; ou s'exerçeraient différemment ! Ce serait
aussi crédible que si l'on imputait usure et érosion rapide ,ou/et lente aux variations de la vitesse d'un écoulement (non pas matériel,concret ;mais impalpable).Mon point de vue noniste ,est que la nature fait l'économie d'un tel phénomène (que l'homme a inventé par utilité).Une vitesse limite a l'observation- par photochimie rétinienne- des événements n'implique pas davantage qu'un temps non pas uniquement paramétral,mais aussi intrinsèque,passe réellement.