Tuesday, June 27, 2006

intermède.

Curieux comme l'interprétation de la relativité restreinte (dite spéciale )par les physiciens relativistes s'est modifiée(une façon respectueuse de dire qu'il y avait erreur conceptuelle )au cours des décennies.Puisque le paradoxe des jumeaux de Paul Langevin ne veut plus dire ce qu'il signifiait sans équivoque (l'énoncé n'etait pas ambigu en effet)a l'époque.

Aujourd'hui seule une particule accélérée vers la vitesse c ,relativement a un référentiel au repos ,verrait encore toujours -selon les physiciens- sa durée de vie allongée ,par rapport a un état de repos.

L'interprétation peut ainsi encore éventuellement a l'avenir changer a propos des particules accélèrées vers la vitesse de la lumière .La mesure du temps ,donc d'unités dont la durée varierait au gré des variations de la fréquence des horloges atomiques les unes par rapport aux autres (alors que pour une égale vitesse ,ou absence de mouvement elles sont synchrones),n'implique pas qu'un écoulement réel de temps existe ,et soit dilaté.Par exemple par l'énergie cinétique ,et la contraction de sa masse une particule naturellement instable ,accélérée vers c ne sait plus se désintegrer : nul besoin de dilater un "temps" pour durer davantage dans l'espace !

Monday, June 12, 2006

Il faudrait pouvoir vérifier ce postulat avec le vivant donc (si les physiciens faisant comme si le paradoxe des jumeaux ,n'avait connu une nouvelle version ,ne se trompaient pas )

Et ne pas trouver d'échappatoire ,en parlant de dérogation a une règle,si les résultats avec des cobayes (souris blanches etc) infirmaient la théorie de la relativité Einsteinienne dans son ancienne version ( c'est a dire une dilatation du temps non exclusive aux particules accélérées vers la vitesse de la lumière ,par rapport a des particules identiques ,et en repos relatif).

Avez vous lu le premier paragraphe,rédigé le 1 juin -2006 - ,et intitulé : " je poserai une question aux lecteurs éventuels .... " ? Pour ne pas me répéter : si habitant paris ,je me prépare pour partir par exemple a prague par la route en voiture ,il m'est impossible d'arriver immédiatement qu'un prétendu temps (en fait ce qu'est présumé mesurer ma montre ! )s'écoule ,ou non .De ne pas user les pneus ,et ne pas consommer du carburant .Conclusion ? : Il est bien inutile d'ajouter un pseudo temps ! Une créature intelligente parvenant a dépasser la vitesse de la lumière pourrait a priori toujours marcher ,et non a reculon temporellement.Une horloge a bord continuant a égrener a frequence tres basse un présumé temps , irréversiblement ;ajoutant seconde après seconde chronologiquement.Les gènes ne seraient pas déprogrammés !

Sunday, June 11, 2006

Après les propositions qui précédaient.

Imaginons qu'une jeune scientifique récemment enceinte décide de se rendre durant sa grossesse dans une cavité se trouvant profondément sous- terre ,en compagnie de spéléologues ,afin de vérifier la relativité de la durée (une gravité plus forte agissant sur la fréquence des atomes ).La fourniture en air et en nourritures et boissons ,éclairage et confort moral (musique lecture,douche ,couchage propre )étant maintenue tout au long de l'expérience. Si la théorie de la relativité -générale- était pertinente ,la gestation de cette femme devrait se voir ralentie (tout comme les fonctions du corps ),et elle ne devrait pas encore avoir accouchée ,alors qu'en surface neuf mois se seraient "écoulés" .Seulement c'est comme si cette jeune femme faisait un voyage luminique hors la Terre ,durant neuf mois terrestre d'absence ,et nous revenait sans se trouver sur le point d'accoucher ,car la gestation serait a peine commençée! Nous n'avons aucune preuve probante de la validité du postulat !
Aux dernières nouvelles le vivant ne serait pas(bien que constitué de particules :électrons,nucléons,quarks etc )bénéficiaire comme les particules non nulles accélèrées par rapport a un référentiel au repos,d'une élasticité de la durée de vie .Relativité de la durée restreinte aux seules particules non nulles.Pour le vivant : relativité de la mesure de la durée uniquement !
La fréquence atomique modifiée par les variations de la gravité.

Des cristaux se trouvant a une altitude différente ne résonent pas entre eux ,puisque leur vitesse horizontale est inégale ;et non d'après moi ,parce que l'accélération des objets varierait a cause d'une courbure différente d'un espace-temps .Une longue cheminée d'usine par exemple,semble accélérer en direction de la masse terrestre ,parce que sa vitesse horizontale varie de haut en bas (et donc sa pesanteur,vu la variation des forces d'inerties ,ou centrifuges).Lorsqu'un objet est libre ,son mouvement dirigé vers la terre (par différence de densité avec l'air )subit une déviation horizontale relative de moins en moins importante ;de sorte que le mouvement perpendiculaire dirigé vers le sol augmente dans sa vitesse.Si a l'équateur quelqu'un creusait un puit tres profond ,la pesanteur des outils augmenterait ,non pas parce qu'une attraction gravifique croissante agirait ;mais selon moi parce que la force centrifuge diminue en se rapprochant du centre de masse terrestre !

Saturday, June 10, 2006

Abordons la gravité.

Les horloges fonctionnent différemment selon l'altitude et le lieu,donc aussi en fonction de la pression atmosphérique.Donc un observateur en mouvement rapide par rapport a un référentiel au repos,vieillirait -selon A.Einstein,et les relativistes -plus lentement qu'un observateur immobile sur le lieu du départ.Il faut alors ajouter que ce prétendu ralentissement de la biodégradation !,ne doit se voir considéré que exclusivement par rapport a l'horloge référentielle quant a son importance.Si ce voyageur rapide partait vers les étoiles ,et revenait ,il pourrait avoir plus vieillit qu'on ne le pense en théorie ;si l'horloge référentielle subissait elle aussi déja un abaissement dit gravitationnel,de la fréquence de ses unités de mesure d'un présumé temps élastique.En réalité s'il n'y avait rotation sur son axe de notre planète ,aucune asynchronie ne serait d'apres moi constatée .Je ne pense pas qu'un espace-temps courbe ,agisse sur les objets personnellement donc.
Suite du paragraphe précédent.

Donc je pose la question suivante " croyez vous que les quelques secondes dites dilatées au maximum ,puissent valoir des mois,ou des semaines,des jours pour les gens restés sur Terre dans l'observatoire ; diurnement simplement et tout bonnement ?" Admettons qu'après une longue absence,puisque ce voyage aller-retour comprendrait des années lumière en distance,des observateurs compétents parmi nos descendants ,verraient revenir toujours a quelques secondes d'intervalle (unités de temps terrestres)les deux engins.Ces quelques secondes présumées dilatées dans leur durée ,pour les pilotes -s'ils vivaient toujours : voir la relativité - ne pourraient on le voit ,représenter comparativement un pseudo temps écoulé plus conséquent pour notre planète.
Lors du départ ,est-il raisonnable de penser que la perception non simultanée de l'événement qu'est l'éloignement immédiat,pour ces deux pilotes,puisse leur valoir un vieillissement différent beaucoup moindre que pour des terrestres differemment distants de l'horloge d'une gare ?
Supposons que dans cent années ......

Nous ayons deux engins spatiaux basés en orbite circumterrestre ,accélérant constamment jusqu'a atteindre une vitesse proche de celle qu'a la lumière ; que d'un observatoire au sol on les verrait partir l'un derriere l'autre a quelques secondes d'intervalle .Je parle ici de secondes délivrées par une horloge atomique sise dans l'observatoire,c'est important. A bord des deux engins les secondes seraient hypothétiquement dilatées ,et variablement depuis qu'il y a mouvement accéléré par rapport a l'horloge du labo,dite au repos.Les quelques secondes de différence dans l'instant du départ de chaque engin ,seraient elles aussi en théorie dilatées.Or retenons que des mois ne passent pas sur Terre comparativement pour autant ! Pourquoi des mois ? Parce que lors d'un voyage durant par exemple 20 ans pour les voyageurs cosmiques ,la théorie de la relativité (du mouvement et de la durée) prétend que des centaines d'années passeraient sur la planète d'où serait parti cet engin .A suivre........
Un peu de physique relativiste.

Quelques secondes de temps théoriquement dilatées par la vitesse importante de déplacement relatif d'une masse non nulle (contractable) ,sont censées représenter un temps s'écoulant beaucoup plus rapidement pour la masse référentielle ,au repos (le mouvement étant relatif,et jamais absolu ).Donc si un objet identique atteint une égale vitesse ,quelques secondes après cette première masse ,il ne devrait y avoir pour toute différence entre eux ,que ce laps de "temps" non dilaté (laissons a part l'accélération vers cette vitesse ; et donc les variations théoriques de la durée),si l'on se réfère a l'horloge atomique au repos dans le labo(c'est important pour la suite) : on est d'accord ?

Friday, June 09, 2006

Pré et auto-évaluation.

M'interrogeant sur le risque ,toujours possible ,d'induire en erreur ,et donc involontairement d'obscurçir les esprits -surtout juvéniles- ,j'ai ressenti la tres nette sensation que je n'allais pas mourir idiot !

Thursday, June 08, 2006

Suite bis.

Supposer que par exemple un éphémère adulte ,déplacé a la vitesse de la lumière -grace a un engin- ,reviendrait toujours vivant ,avec l'équipage ,alors que des décennies auraient passées sur Terre ,serait une hypothèse tout a fait gratuite ,et absurde .Nous aurions là un sophisme !
Suite du paragraphe précédent.

Tout le monde aura probablement compris que postuler comme je le fais l'irréalité du temps en tant qu'écoulement ,ne veut absolument pas dire que si je ne faisais erreur ,l'on vivrait éternellement ? Il faut comprendre ,cela est tres clair,que le dit postulat signifie que la durabilité limitée de notre existence est due a nos gènes ,et secondairement a nos conditions de vie .
Quand un accidenté de la route est agonisant ,le Samu doit parer au plus pressé ;preuve que la rapidité sur la route n'allonge pas la durée de vie ,en éloignant le risque de l'instant fatal .
Si l'accidenté meurt en route il serait absurde de décréter ,parce que son frère averti immédiatement par téléphone portable,s' éloignerait avec le TGV a trois cent km a l'heure,que pour celui-ci ,parce qu'il ne l'aurait pas appris simultanément ,le trépassé aura vécu plus longtemps ! Cet homme ne peut déterminer l'instant auquel s'est produit l'événement ,a partir de celui de sa propre perception ,et se dire "pour moi le temps a ralenti " !!!

Wednesday, June 07, 2006

Délaissons la technique.

Je trouve incompréhensible que des humains puissent encore a notre époque ,croire que sans l'existence d'un temps qu'ils supposent s'écouler ,une liane par exemple ne saurait se balancer sous l'action du vent ,ou d'un animal (moins intelligent que l'homme !).Puisque selon eux encore,jouer par exemple du violon requerrait un phénomène exterieur au musicien,a l'archet ,et a la caisse de résonnance,pour produire des notes successives ,entre des silences variables !

Le temps est dans le mouvement propre ,ou partagé rétorqueront les inconditionnels de ce concept probablement ?

Pourtant ,écoutez ,pour battre par exemple des mains ,rythmiquement ou non ,je n'ai besoin que d"espace (avec une planète immobile dans le vide ce serait pareil )! Ne sont impliqués que des muscles,des nerfs,et une volonté .Ce sont ces muscles des bras qui agissent : que peut-il falloir d'autre pour savoir battre des mains ? C'est un grand mystère pour ma personne,que des gens ajoutent un phénomène inutile -pour que ce qui est ,soit -,en le croyant absolument indispensable ! Ah c'est vrai un Méson accéléré dure plus longtemps .Mais cette particule a t'elle besoin d'autre chose que l'effet produit par cette accélération sur sa cohesion ?
Des réserves ?

Supposons que deux rayons laser se propageant en direction inverse parallèlement au sol en longeant un méridien quelconque,rencontrent chacun un détecteur de photons ,l'instant de leur détection respective dépendra de celui de leur émission propre .Si cette dernière etait simultanée ,alors la détection le sera également pensera t'on ? Voila qui serait exact ,si notre planète était au repos(immobile pour les profanes)dans l'espace ! Mais du fait que ces détecteurs partagent le mouvement de translation de la Terre autour du soleil ,la détection de chaque rayon laser ne peut se révéler simultanée .Donc en ayant deux rangées parallèles de deux détecteurs séparés d'une distance absolument identiques ,ni les premiers déclic ,ni les second ne peuvent connaitre la simultanéité : si je ne me trompe cela donnerait une vitesse de propagation non concordante pour chacun des rayons ,si on la mesurait en enregistrant les déclic .
Pour accompagner l'insertion de ma photo ,permettant aux éventuels visiteurs de voir l'auteur de ce blog ,je dirais que si j'ai des choses a dire(je suis contre la pensée unique : bien que la science ne soit pas un terrain démocratique ,sur lequel seraient confrontées des idées opposées : il faut bien un consensus ),je ne me fait pas pour autant une idée surfaite de ma personne .Delbarre Jean-Pierre .Le 7 Juin 2006.

Tuesday, June 06, 2006

Complément

La fréquence d'une onde lumineuse peut dépendre du mouvement de la source d'émission par rapport a un observateur au repos (effet Doppler).Si la source s'éloigne ou se rapproche ,ou qu'un observateur s'éloigne ,ou vient vers elle ,la longueur d'onde (fréquence)des photons varie dans le "temps" ,alors que leur vitesse de propagation reste constante .L'énergie liée a cette longueur d'onde elle,ne varie pas : par exemple l'effet photo-électrique ne sera pas obtenu si la fréquence des photons dans le "temps" augmente ,mais que leur énergie elle demeure constante.

Que l'on se déplace avec une vitesse égale a celle d'un escargot,ou que l'on se meuve a une vitesse de 150 000 km par seconde ,il semble bien que la lumière changerait dans sa vitesse si on la mesurait (par rapport a nous) dans le vide .Ce qui est vrai ,est que la vitesse de la lumière ne dépend absolument pas de celle qu'a sa source ;puisque la propagation des photons est instantanée ,et non solidaire de la vitesse de ce qui les émet (que cette source soit au repos,ou se déplace rapidement ,rien ne change ).Il n'y a ni addition,ni soustraction des vitesses.Néanmoins ne se trouve pas infirmé la prévision du résultat d'une expérience fictive avec les détecteurs auparavant.

Monday, June 05, 2006

Proposition

Considérons le mouvement de translation de notre planète dans l'espace : en imaginant qu'un rayon laser se propagerait a sa rencontre , et que la sphère gazeuse ne soit ,la lumière devrait a priori croiser cet objet macroscopique avec une vitesse dépendante de celle qu'a ,en direction opposée,ce dernier.Représentons nous deux détecteurs de photons ,disposés a une distance déterminée l'un de l'autre ,parallèlement a la translation de la Terre.Le laps de "temps" existant entre la détection de chacun au passage du rayon laser les rasant ,nous donnerait probablement une mesure différente de celle habituelle pour la vitesse de la lumière ?

Si ce raisonnement est correct ,la sphère gazeuse dans la situation normale (permettant a l'homme de vivre) ,déplacerait donc -en plus de réduire faiblement sa vitesse de propagation - la lumière en direction inverse a son propre mouvement ,quasi linéaire.Ce serait un phénomène similaire a ce qui se produit dans l'eau courante .

Friday, June 02, 2006

Lire un nouveau paragraphe ?

Bien qu'aucune vérification de la pertinence de la relativité de la durée n'ait été faite avec le vivant ,cette théorie est dite verifiée tous les jours .La science se base pour affirmer cela ,sur la durée d'existence plus importante d'une particule instable lorsqu'elle est accélérée vers la vitesse de la lumiere par un champ magnétique statique et intense .Or il y aurait selon moi mésinterprétation du résultat,suite a un préconditionnement intellectuel .En effet cette particule instable n'a nullement besoin de la dilatation d'un temps présumé pour durer plus longtemps,puisque sa cohesion interne est renforcée par la vitesse accélérée tant que cette derniere agit .Supprimez de votre esprit ,cette idée de temps,le résultat sera inchangé pour la particule accélérée. Si l'effet qu'a l'accélération reste identique ,c'est bien que le temps n'existe pas !

Il ne faut pas se dire " sans écoulement de temps,rien ne serait " ,au risque de s'auto-obscurçir l'esprit ! Car par exemple pour marcher en me déplaçant linéairement dans l'espace,je n'ai personnellement guère besoin de cette hypothèse .Ce constat est d'une importance considérable !

Certes la vitesse de la lumière a invariablement été mesurée constante dans un milieu identique: d'où le postulat d'une contraction relative des longueurs ,auquel s'adjoint celui d'une dilatation d'un prétendu écoulement de temps (ainsi non uniforme).Je proposerai cependant un postulat.

Thursday, June 01, 2006

Je poserai une question aux lecteurs éventuels :
Quelle différence pourrait-il y avoir pour un véhicule se déplaçant sur une distance donnée ,avec une vitesse par exemple de 100 km/h ,alors qu'un présumé temps s'écoulerait;et pour un véhicule identique,se mouvant avec une vitesse égale sur une distance identique au millimètre près; tandis qu'aucun temps ne s'écoulerait (attention pas de méprise) ? Aucune en fait ,puisque qu'un hypothétique temps s'écoule ,ou que ce soit une invention simpliste ,un véhicule doit transiter dans l'espace : absolument aucun des deux véhicules ne saurait se trouver immédiatement sur place ,alors que ce lieu est éloigné ! Pour tout deux ,il ne peut qu'y avoir usure,échauffement,et dépense en énergie identiques !

Si l'immortalité pouvait exister,elle ne serait pas due a l'absence d'un écoulement de temps théorique ;mais a l'absence de dégénérescence .Le vieillissement étant difficilement imputable a un phénomène exogène .Une créature pour se pérénniser devrait avoir une nature non biophysique ,car l'espace et le mouvement n'interagissent pas temporellement.Que pensera t'on de ce postulat ,cela je l'ignore ?

A suivre......


Tout commentaire serait le bienvenu