Wednesday, February 21, 2007

Considérons un engin au repos,et comportant a chaque extrémité interne de sa longueur,une horloge; et que celles-ci se font face.
Si l'on utilise un miroir placé a côté de l'une de ces horloges synchronisées manuellement,de façon a ce que l'on puisse voir simultanément l'instant qu'elles indiquent ,l'on observe que l'horloge reflétée semble retarder par rapport a l'autre horloge.Alors que si ce miroir est placé a 45° au milieu de la longueur,comme la lumière se propage sur une égale distance ,les instants observés simultanément dans le miroir coïncident.
Il est alors évident que si cet engin se met en mouvement ,dans par exemple une direction horizontale par rapport a la Terre ,que ce déplacement linéaire aura un effet sur le temps de propagation de l'image de chaque horloge vers le miroir situé d'un côté et au milieu de sa longueur.Donc l'apparente asynchronie entre elles est due au déplacement linéaire du système ,rendant inégale la distance qu'a à parcourir la lumière.En effet si un miroir est placé a côté de chacune des horloges, le mouvement partagé du dispositif en ligne droite va jouer sur le temps
de propagation de l'image des horloges allant se reflèter sur les miroirs. L'horloge située à l'avant va se reflèter plus rapidement, puisque le miroir avance vers les photons. Cette horloge semblera donc moins retarder, que celle située a l'arrière dont on observera le reflet sur un miroir situé a l'avant, puisque la lumière se propage légèrement plus longtemps. Selon la théorie de la R.R cependant c'est l'horloge située a l'avant qui doit retarder, et pour un observateur exterieur au repos l'effet Doppler tend a confirmer cela.
Le postulat d'une variation de l'écoulement de temps, repose sur la variation de l'intervalle d'espace. Je peux en effet très bien postuler que aucun temps intrinsèque ne doit s'écouler,pour qu'un intervalle variable d'espace joue sur la distance que la lumière a à parcourir a gauche et a droite vers le miroir, et que c'est la cause unique de l'apparente asynchronie ; sans que l'on puisse infirmer cette vision des choses, préjuger que j'ai tôrt .
Nous pourrions remplacer les horloges par des cristaux, qui résonent entre eux lorsque l’engin est au repos, et qui restent en résonance lorsque cet engin est en mouvement uniforme ( leur niveau d’énergie est exactement identique - 1); car si leur fréquence d’émission d’énergie baisse pour un observateur extérieur au repos, la fréquence de ces deux cristaux reste identique en partageant ce mouvement uniforme en vitesse et direction ( si le mouvement est accélèré cela aura simplement un effet variable et différent sur la fréquence d'émission de chaque cristal). Nous retrouvons le cas des horloges(se reflétant dans un miroir a 45° )animées de la même vitesse et paraissant fonctionner différemment, a cause du mouvement , et donc de la variation de l’intervalle d’espace dans lequel se propagent des ondes ayant une vitesse fixe. Sans avoir a postuler de temps intrinsèque, a écoulement variable .
D'ailleurs croit-on encore aujourd'hui que par exemple la mouche du figuier vivrait plus d'une journée (sa durée de vie naturelle ), si elle était a bord d'un engin spatial se déplaçant a une vitesse proche de celle qu'a la lumière ? Non, j'en doute car trop absurde serait cette croyance.
Est-ce dire que la dilatation du temps n'aurait d'effet que sur les seules particules ? Ou admettre que cette « dilatation d'un temps qui s'écoulerait » n'est qu'apparente; purement observationnelle ? La contraction variable du volume des objets microscopiques, accélèrés vers la vitesse de la lumière, s'opposant a une désintégration rapide; comme dans le cas de particules identiques mais au repos par rapport a elles.
-1) Si l'on a pas la bonne longueur d'onde pour produire l'effet photoélectrique , l'on a beau déplacer en continu la source monochromatique de façon a augmenter la fréquence de corpuscules dans le temps , leur énergie reste insuffisante.C'est ce genre de modification apparente de la fréquence (effet Doppler)d'émission, qu'introduit un engin en mouvement, et comportant des horloges ou des cristaux a ses extrémités internes avant et arrière .

Tuesday, February 20, 2007

Proposition,et postulat.
L'on peut se déplacer rectilignement avec la vitesse que l'on veut, les photons arrivant dans nos yeux possèdent toujours la même énergie – cinétique- ; celle des longueurs d'ondes correspondant aux couleurs étant inégale (c'est une question de fréquence). Donc cette vitesse de propagation de la lumière est constante -dans un même milieu,dans toutes les directions- quelle que soit la vitesse linéaire des yeux interceptant photochimiquement cette partie visible du spectre E.M .Seule la quantité d'énergie reçue peut a priori endommager les yeux : chacun sait qu'il ne faut pas regarder trop longuement le Soleil; sans qu'une addition des vitesses- impacts photons-recepteurs- entre en jeu (la fréquence varie alors par effet Doppler-Fizeau ).Un spationaute sur la lune se trouve dans le vide et les recepteurs de ses yeux reçoivent la même énergie photonique, même si celle cinétique est a priori un peu plus grande par absence d'absorption- réémission lors de la propagation.
La loi Galiléenne d'addition des vitesses n'est pas valide pour la lumière, qui se propage avec une vitesse propre- sans support-, et constante.
Cependant tout le monde sait, grâce au physicien Fizeau, que la vitesse d’un rayon lumineux dans l’eau n’est pas égale dans toutes les directions, si celle-ci est courante. Pour une propagation a contre-courant par exemple les photons perdent de la vitesse, par rapport a une propagation a une propagation dans la direction contraire. Mais l'énergie cinétique du milieu traversé par les photons est axée dans une direction translatoire; donc celle des photons elle ne change pas selon leur direction de propagation par rapport a ce milieu.
Une masse gazeuse ( l'atmosphère) en mouvement de translation et pénétrée par la lumière d'une étoile – par exemple parallèlement a la surface de la Terre- pourrait donc jouer le même rôle; ce qui paradoxalement égaliserait la vitesse de propagation, puisque les mesures se font dans le milieu gazeux .
: sur la longueur de cet espace transparent aérien et mobile, traversé en direction inverse a celle de leur propagation, les photons sont freinés(réfraction légèrement plus importante que si le milieu était au repos).
: sur une longueur d'espace transparent et ,mobile, traversé dans le sens de propagation ,les photons bénéficient du « courant » et ont donc une vitesse plus grande(indice de réfraction supposé différent ).
: sur des distances qui seraient inégales s'il n'y avait l'atmosphère , la lumière conserverait donc la vitesse qu’on lui connaît dans l’air avec absorptions et réémissions différente dans le sens du « courant » et a « contre-courant » (translation de notre planète,et donc de son enveloppe gazeuse);voila mon postulat énoncé donc.
En 1 nous avons actuellement le postulat d'une contraction théorique de la masse gazeuse,dans la direction de son mouvement de translation avec la Terre.
En 2 nous avons actuellement le postulat d'une dilatation d'un présumé écoulement de temps (devenu variable,vu la vitesse fixe de la lumière,et une définition physique du concept de simultanéité ).
Un physicien compétent (professionnel) pourra dire si ces raisonnements sont corrects ,ou pris en défaut.

Wednesday, February 07, 2007

Le cas des jumeaux de P.Langevin.
Lorsque l'un des jumeaux part dans l'espace il y a accèlération positive; qui dure pendant le trajet aller, jusqu'à ce que la vitesse désirée – proche de celle qu'a la lumière- soit atteinte.Au retour, il y a accèlération négative( décèlération): car atteindre quasiment c, et ensuite perdre cette vitesse jusqu'à pouvoir atterrir; je vous laisse apprécier Mais encore, l'effet théorique- s'il ne se réduit pas a celui Doppler - de la vitesse de déplacement sur l'horloge a l'aller (abaissement variable de la fréquence), n'est-il pas inversé au retour: élèvation variable de la fréquence, suite a la décèlèration? Il n'y a en effet aucune possibilité d'avoir un mouvement idéal instantané (c'est a dire uniforme et très rapide d'entrée; avec simplement une brisure de symétrie, lors du virage de retour vers notre planète).Si l'on exclue ce mouvement idéal, les horloges des jumeaux sont redevenues synchrones automatiquement,dès l'atterrissage (d'ailleurs la gravité agit identiquement sur elles;et la contraction théorique de la longueur des objets mus par la Terre est égale).Celle référentielle n'aura elle jamais varier dans son débit ; ce qui n'aura pas été le cas de l'horloge mue rapidement variablement par rapport a elle(voyage aller). Il faut encore que la variation d'un phénomène périodique puisse être la cause d'un effet physique quelconque, bénéfique pour un organisme.Je rappelle quand même que le temps n'est pas écoulement,donc débit, qu'il n'est pas changement, ne passe pas, n'a pas de vitesse !
En plus la durée de l'absence de la fusée hors la Terre, implique une usure des matériaux externes et internes; et cette durée ne correspond pas a celle indiquée en théorie par l'horloge calendaire du bord . Même si la succession des secondes lors d'un voyage rapide, donne un chiffre moins important que l'horloge référentielle,puisqu'une unité de temps est supérieure en durée ; l'usure des matériaux par fatigue, et forces de frottements etc, est importante.
Mais encore plus un engin est rapide, plus il y à pour lui de contraintes physiques.Et les chocs avec les particules cosmiques ayant une masse non nulle peuvent échauffer la paroi externe avant,et dilater le nez de l'engin: annuler la contraction-théorique- attendue.
La théorie de la relativité est subtile : l'âge du voyageur, l'âge de la fusée, la durée du voyage spatial; tout cela est différent, est a dissocier.
Proposition.
Je propose une expérience aux physiciens relativistes ayant un pouvoir décisionnaire (directeur de recherche).Elle est toute simple, et a priori d'un coût non excessivement onéreux.
Remplissons- sur un terrain géologiquement stable- un profond puits asséché, de plomb fondu: d'après les mesures gravimétriques faites une fois ce plomb refroidi, par rapport a celles faites au préalable localement, il ne peut qu'y avoir modification du champ de gravité théorique. Si la gravité telle qu'elle est conçue en théorie, est supposée agir sur un espace-temps en le déformant; en plus de l'action et réaction, lors d'interactions directes entre matières, il devrait y en avoir une sur les phénomènes périodiques, non imputable aux variations de pression du milieu ambiant.
Bien qu'une horloge atomique soit a priori insensible aux variations de la préssion extérieure,la durée des unités de temps n'est théoriquement elle pas insensible aux variations de la gravité – ou variations de la déformation théorique d'un espace-temps. Dit plus simplement : la pesanteur de la masse de plomb, sous forme de colonne atteignant une hauteur donnée depuis le fond de l'ex puits, doit – si la théorie de la relativité génerale dit vrai- agir sur la fréquence d'une horloge atomique que l'on poserait sur cette colonne de métal, après l'avoir synchronisée avec une horloge référentielle que l'on pourrait laisser a côté du puits.Je laisse a d'autres, le soin de calculer cet effet théorique de la masse sur un phénomène temporel, en calculant celle-ci (profondeur et diamètre interieur d'un puits en général).
La physique sait de nos jours mesurer des différences infimes de temps, isoler un système des vibrations transmises par la matière(véhicule etc),de l'air, et donc aussi des variations thermiques, des impacts particulaires même etc. Une fois éliminés tous les effets pouvant s'avèrer parasistes, l'
experience menée rigoureusement a des fins de vérifications ne pourrait qu'être utile. Je m'attends a une absence d'effet, qui pourrait se voir indubitablement imputé a l'action de la matière sur un temps intrinsèque.
Les temps propres.
Par les temps propres nous avons des mesures de la durée différentes dans chaque réfèrentiel.L'âge d'une personne est donc une notion relative.Ce qui ne veut pas dire qu'il y a vieillissement différent pour par exemple des jumeaux ,dont l'un se mouverait avec une très grande vitesse,par rapport a l'autre.
Pour une particule dont la durée de vie naturelle est brève(désintégration spontanée),et qui est accélèrée- par un champ électrique- vers la vitesse de la lumière, par rapport a une particule identique elle non accélèrée, la durée de vie mesurée est allongée par rapport a celle de la particule dite au repos.C'est ce que peuvent observer les physiciens grâce aux accélèrateurs de particules.Pour
un observateur qui serait lui même en mouvement rapide,et constant en vitesse,par rapport a ces particules accélèrées, en ayant une horloge atomique(pourtant synchronisée au repos),la mesure de la durée de vie de celles-ci serait encore différente- des points de vues non concordants entre un observateur au repos,et un observateur en mouvement, aucun n'est plus exact que l'autre- : il s'agit donc de notions relatives,aussi bien pour la durée, que pour l'âge ! Quoique je n'en sache pas davantage qu'un relativiste compétent, je puis dire que la théorie de la relativité est subtile dans ses énoncés (ce qui cause des mésinterprétations quand les termes employés dans des écrits: « écoulement de temps ,etc » faussent la perception du lecteur.Mais un auteur peut toujours parfaire ses écrits).
S'il ne faut pas confondre, ce que mesure par sa fréquence une horloge atomique,avec ce que produisent les forces de frottements sur elle : « l'usure » ,car dans le second cas il y a interaction; il ne faut pas non plus inventer un rapport de causalité entre le paramètre -temporel- mesuré périodiquement(unité de temps,variable-dilatable- en durée),et les effets physiques que l'on peut constater. Le phénomène temporel ne peut ralentir, ni accélèrer ; ni -ce qui est important- être ralenti,et accélèrer(positivement): la vitesse est une dérivée du temps, et joue sur la fréquence des horloges mues.Quand a la mesure de la durée, elle est relative.
Le paradoxe de Paul Langevin.
Parler d'âge différent pour les jumeaux, reviendrait a dire que, entre l'instant de leur naissance,et celui de leur réunion le voyage a grande vitesse relative de l'un achevé,la durée de vie des deux serait différente : ce qui signifierait un vieillissement inégal des deux frères.Alors que c'est tout simplement la mesure de la durée,qui n'est pas identique.L'horloge référentielle, et l'horloge qui fut mobile par rapport a elle ne sont en théorie plus synchrones,contrairement antérieurement au départ de la seconde pour l'espace vide.
S'il y a contraction(réduction de volume) de la masse d'une particule instable, accélèrée,celle-ci se désintègre moins rapidement que si elle se trouvait au « repos » ,avec une cohesion interne moindre( la clé est là a mon avis).
Mais s'il y a contraction massique du vivant par l'accélèration, et abaissement de la fréquence oscillatoire des atomes constituants cette masse, y a t'il pour autant une préservation de celle-ci ( imputable a la vitesse relative), par rapport a la masse organique jumelle,au repos ? Non, il me semble. Même si les conditions de vie peuvent jouer, le vieillissement des jumeaux sains (comme dans le paradoxe), dont l'un est isolé par son voyage rapide, relève de l'hygiène alimentaire et corporelle, mais surtout du phénomène naturel de biodégenèrescence.
Une fréquence n'a pas d'effet sur ce qui l'émet; un phénomène périodique externe n'agit pas sur la physiologie(comme le feraient l'alternance jour-nuit,ou les variations de températures par exemple), selon la durée qu'il a .Par contre il se comprend très bien que si le phénomène d'asynchronie par la vitesse relative n'est pas qu'apparente ,mais un effet physique bien réel ( je vous renvoie au cas de figure des observateurs, et a la durée de vie des particules,plus haut), que plus une unité de temps dure, moins leur nombre sera grand, relativement a un nombre d'unités plus courtes en durée.
Remplaçons les jumeaux du paradoxe par des jumelles.
Peut-on écrire avec prétention que la jumelle voyageuse (absente de notre planète durant cinq mois) aurait une seule menstruation ,tandis que sa soeur restée sur Terre elle, en aurait cinq ? Ce ne serait plus naturel pour la jeune femme voyageuse rapide !
Supposons que ces jumelles soient simultanément fécondées par leurs maris sur Terre,avant que l'une d'elles parte dans l'espace pour un voyage rapide.Les processus physiologiques,la gestation peuvent-ils se voir conditionnés par une succession de secondes a priori différentes en durée, selon qu'il y ait mouvement relatif,ou repos relatif; au point que la voyageuse serait biologiquement enceinte par exemple seulement d'un mois lors de son retour, tandis que dans le ventre de sa soeur l'embryon serait déjà devenu un foetus développé ? La théorie de la relativité ne prétend pas -a la lecture d'aujourd'hui- ce genre de choses, sauf erreur de ma part ?